16 avril 2005
ses créssions
IL aimerait ressentir une fois de plus l'Autre dans son corps, l'Autre couler dans tous ses orifices.
Lorsqu'ils faisaient l'amour tous les deux, l'Autre laissait toujours une partie de lui dans les trous de il, qui prenait plaisir à sentir l'Autre se déposer dans son corps.
La présence était palpable, chaude, visqueuse, coulante.
Il faisait tout ce qui était possible pour garder au fond de lui, au fond de ses trous, le liquide de l'amour que l'Autre avait bien voulu lui donner.
Cette substance que le corps de l'Autre avait produit était maintenant dans Il, mélange de liquides de ces deux êtres qui fusionnaient.
Sécretion brûlante au goût de vie.
A présent seul du sang glacé au goût de mort traverse le corps tout entier de il.
Publicité
Commentaires